Nous sommes quatre étudiantes en fin de parcours venues d’horizons très différents et réunies par l’amour des langues et de la traduction.
Jessica, à l’ETIB depuis cinq ans déjà, clôture cette dernière année en profitant de l’occasion que ce blog lui donne de s’exprimer librement. «Le traducteur, habitué à transmettre les idées des autres, fait face à un grand défi lorsqu’il veut traduire ses propres pensées par le langage. Ce cours m’a permis de partager mes idées avec les autres.»
Aïda aime les langues et la traduction malgré les difficultés qu’elle rencontre parfois. «Le début de mon master n’a pas été évident car la traduction était quelque chose de nouveau pour moi mais je ne regretterrai jamais ce choix. »
Caline est libanaise d’origine mais n’a jamais senti qu’elle appartenait vraiment à ce pays. Peut-être trouvera-t-elle avec la liberté d’écrire que lui offre ce cours un sens de son identité entre les lignes. Le master traducteur-rédacteur l’a aidée à apprécier la culture inhérente aux différentes langues. En traduisant d’une langue à une autre, elle découvre la fluidité des mots et sent une affinité pour cet écoulement – peut-être est-ce dans ce processus qu’elle se retrouve enfin, toujours en flux.
Dolly, de passage au Liban, est arrivée à Beyrouth en 2015 pour son master et a découvert l’université en même temps que l’ensemble du pays du Cèdre. « J’ai beaucoup appris durant ce master et j’emporterai sùrement avec moi en France les riches expériences et rencontres ainsi que les précieux souvenirs . »
Ces quatre étudiantes, à qui il a été donné de faire part de leurs idées sur ce blog, profitent de cette occasion pour partager avec vous quelques pensées, réflexions et observations, en espérant que vous passerez un bon moment !